Le vendredi 22 novembre à 20h30 en partenariat avec le cinéma Ariel place Colbert à Mont-Saint-Aignan, Alif vous propose une soirée cinéma autour de Inchallah un fils, de Amjad Al Rasheed(V.O. sous-titrée). Le film n’est conseillé qu’à partir de 12 ans, essentiellement pour des raisons de compréhension juridique et psychologique des enjeux.
En voici l’argument : En Jordanie, de nos jours, après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.
Vous pouvez aisément en retrouver la bande annonce en ligne.
plein tarif ordinaire du cinéma: 7 €
familles adhérentes d’Alif : 5 € (soit une réduction de 30%)
tarif réduit ordinaire du cinéma sur justificatif (- 26 ans, demandeurs d’emploi, élèves de l’enseignement artistique, personnes en situation de handicap et leur accompagnant) : 3,60 €
Pour la première fois, notre spectacle de fin d’année faisait partie de la programmation du festival Les Goûts et les couleurs de Mont-Saint-Aignan. Et coloré, certes, il le fut ! et même un peu trop : nous nous sommes retrouvés en panne de lumières une semaine avant le spectacle et avons improvisé : ce fut donc très, très coloré, parfois un peu trop, ainsi qu’en témoignent les photos mais enfin, c’était gai et nous ferons mieux la prochaine fois !
C’est un chant de bienvenue, en arabe naturellement, de tous les élèves des cours d’arabe qui accueille le public dans la grande salle du Rexy.
Puis, actualité oblige en ce dimanche 15 juin, les enfants entonnent une chanson de célébration : « Félicitations à toi Papa »
… et les petits chantent des comptines,
avant de céder la place à Lucille et ses élèves pour une première chorégraphie multicolore utilisant les fanveils (voiles-éventails).
Les enfants du cours des moyens récitent des poèmes sur les animaux. Puis Perrine, notre vice-présidente et Amel, responsable de notre partenariat avec le cinéma Ariel, rappellent les temps forts de l’année et …
cèdent la place aux danseuses de l’atelier chorégraphique qui présentent une de leurs créations sur le thème de la rose. Après l’éclosion, c’est l’envol des pétales !
Les élèves d’arabe, grands enfants et adultes débutants, reprennent possession de la scène pour poèmes et chansons…
avant que Kenza et ses élèves ne se lancent dans un tango oriental.
Puis les ados et les adultes récitent un poème en hommage au chant et mettent derechef en pratique les conseils du poète en exécutant un chant populaire russe.
Mais voici, surprise, qu’un gâteau d’anniversaire arrive sur scène : c’est que les pères ne sont pas les seuls à être fêtés ce jour-là, c’est aussi l’anniversaire de Belgin, notre amie turque, laquelle ne s’attendait pas à devoir souffler ses bougies en public.
Après cet intermède, l’atelier chorégraphique revient avec une nouvelle création métissée : musique orientale et « trucs en plumes ».
Notre président Ali Farhat fait venir tout le conseil d’administration sur scène pour présenter à tous les adhérents les nouveaux visages des bénévoles qui ont su relancer une association en grand danger de devoir mettre la clé sous la porte un an plus tôt.Et voici le CA au grand complet :
Ali, Perrine, Raphaëlle, Odile, Clémence, Lydie, Léonie, Annie et Amel
Les élèves de Lucille, qui ont changé de style et de tenue, proposent maintenant une chorégraphie pop au rythme estival qui parle d’amour (en même temps… pourquoi parler d’autre chose ?)
Kenza et Nadia prennent le relais pour une chorégraphie avec double-voile en duo...
avant qu’ados et adultes du cours avancé ne nous offrent à nouveau poèmes et chansons.
Retour à la danse avec Kenza et Camille, une de ses élèves, qui exécutent un duo avec les ailes d’Isis.
Ali remercie Théo pour le son, Valentin pour les photos, les professeurs pour leur investissement dans les cours, et aussi Josiane (qui n’est pas là mais on pense à elle) et Mireille qui, pendant plusieurs années, se sont occupées des comptes, des inscriptions, des pâtisseries… et de l’ambiance au CA !
Amale (arabe), Kenza et Lucille (danse), Mireille (trésorerie) et Perrine (cuisine)
Après un drum solo de Lucille, les danseuses de l’atelier concluent le spectacle avec une dernière création – qu’elles ont donc travaillé cette année ! – : encore des fanveils ?! Mais c’est tellement agréable à voir !
Le vendredi 16 février, nous avons organisé en partenariat avec le cinéma Ariel de Mont-Saint-Aignan une soirée autour de Nezouh, film de Soudade Kaadan (V.O. sous-titrée) : à Damas au cœur du conflit syrien, la jeune Zeina, 14 ans, et ses parents Motaz et Hala, sont parmi les derniers à demeurer dans leur quartier en ruine. Leur immeuble tient encore et Motaz, qui ne veut pas devenir un réfugié, refuse obstinément de quitter les lieux, au grand dam de son épouse. Un jour, un obus fait un grand trou dans le plafond de l’appartement. Zeina, qui ne peut s’échapper physiquement, s’envole en imagination par cette ouverture inattendue.
Les amateurs de film de guerre avec des scènes d’affrontements sanglants seraient déçus : certes la guerre est présente à travers les images de Damas désertée et en ruines, et la vie de la famille est difficile, mais l’accent est mis sur les relations dans la famille, avec les rares voisins, avec les oiseaux. L’imagination joue son rôle dans la survie et cette situation de crise douloureuse finalement offre aux femmes une occasion de prendre leur vie en main.
Il n’y avait pas là de quoi traumatiser les enfants venus avec leurs parents mais il a fallu du courage à ceux qui ne parlaient arabe pour lire les sous-titres, tout le film durant ! Ceci dit, ils ont pu aussi se ravigoter avec les pâtisseries de nos cuisinières et le thé à la menthe, avant et après le film. Et j’en connais deux qui ne se sont pas faits prier !
Merci à Monsieur Ricque, le directeur de l’Ariel, et son équipe pour leur accueilet à Amal Khamar qui a piloté ce projet pour notre association.
Le 10 février, au Rexy, notre association a proposé aux étudiants du cours d’arabe (1ère année) de l’université de Mont-Saint-Aignan une initiation à la culture arabe (poésie, danse et cuisine).
Dans le pur respect des traditions de notre association qui suscite la rencontre des cultures, la matinée a commencé autour de viennoiseries françaises et s’est achevée avec les pâtisseries orientales confectionnées en commun.
Chacun est reparti avec sa boîte sous le bras. Ce fut une matinée détendue et sympathique !
Merci à la mairie qui nous a prêté les salles, au professeur qui nous a fait confiance et aux étudiants qui ont participé à toutes les activités, y compris à la danse, laquelle n’enthousiasmait pas tout le monde a priori et a finalement remporté tous les suffrages !
Nous vous donnons rendez-vous pour un moment festif au 147 route de Dieppe à Notre-Dame-de-Bondeville.
L’entrée est libre mais nous vous demandons de contribuer au goûter (gâteaux salés ou sucrés, boissons). Et en ces temps d’automne contagieux, mieux vaut apporter son propre verre.
Après un mini spectacle, musique ! Nous danserons et partagerons le goûter.
Etant donné le nombre de candidats, nous sommes en mesure d’ouvrir un cours d’arabe pour ados et adultes débutants à Mont-Saint-Aignan le mercredi de 19h à 20h dès le mercredi 12 octobre.
Par ailleurs, un (voire deux) cours d’arabe ouvrira (ouvriront) à Notre-Dame-de-Bondeville le mardi soir au Mille Club. Les élèves doivent y retrouver le professeur mardi prochain, 11 octobre à 17h pour l’évaluation des niveaux et la constitution des groupes.
Après deux ans sans fête, nous avons pu nous rassembler à nouveau pour partager le travail accompli par les élèves et tout simplement nous retrouver. Voici un résumé des festivités pour ceux qui voulaient être des nôtres et en ont été empêchés.
Le spectacle a commencé…
avec une chanson d’accueil en arabe interprétée par les élèves des cours d’arabe réunis et par le discours d’ouverture – en vers – d’Ali Farhat, notre poète-président.
Puis notre vice-présidente, Inès Imzilen, a donné quelques consignes pour le bon déroulement de la fête.
Les enfants ont interprété en arabe la chanson des gestes, celle du grand cerf dans sa maison et récité un poème pour les mamans et un pour les papas.
C’est par une chorégraphie langoureuse tout en douceur sur une chanson d’amour mêlant les influences orientales soufie et des accents jazz que les danseuses du cours de Lucille ont ouvert la danse.
Puis les parents ont aussi été à nouveau dûment célébrés en poème et en chanson par les enfants du cours moyen…
… lesquels, rejoints par les ados, se sont ensuite déchaînés sur la chanson du coronavirus.
Ils ont ensuite cédé la scène aux danseuses du cours de Kenza pour une danse de voile modernisée…
… suivie d’un pop égyptien.
Après la danse, le théâtre : dans une scènette chantée, Maya et Hind ont joué une querelle d’amoureux qui prétendent l’un et l’autre être le meilleur.
Puis pour une autre scènette chantée, elles ont été rejointes par Sami, lequel a campé un vieil épicier filou qui sait fort bien être sourd quand ça l’arrange.
Les élèves du cours de Lucille sont revenues sur scène pour une danse arabo-andalouse mêlant accents orientaux et flamencos.
Les élèves adultes, qui avaient débuté leur cursus juste avant le confinement et ont courageusement poursuivi les cours en ligne, ont lu un poème d’amour de Nizar Kabbani, accompagnés au oud par notre ami irakien Dawood Semano…
… et les adultes avancés ont lu le poème Ma Patrie du poète palestinien Ibrahim Touqan, adopté comme hymne national de l’Irak en 2004 après la chute de Saddam Hussein, et aujourd’hui considéré comme le chant de l’unité arabe. Dawood a ensuite repris le texte en chanson.
Siham El Gharras, dont le père a fondé l’association avec le père d’Inès Imzilen et d’autres parents pour permettre à leurs enfants d’apprendre l’arabe dans un contexte laïque, a rappelé que l’association fêtera l’an prochain ses 25 ans et que nous comptons bien marquer l’événement par un programme d’activités renforcé.
Après quoi, les danseuses avancées de l’atelier chorégraphiques sont venues présenter leurs deux créations collectives. Tout d’abord un classique, très Mille et une nuits, tout en ondulations et voiles irisés ;
puis une chorégraphie sur une musique de percussions énergique et dynamique.
Le président a ensuite rendu hommage à nos professeurs qui ont été mises à rude épreuve par la pandémie avec la nécessité d’assurer des cours en ligne dans des conditions parfois acrobatiques : Perrine, Lucile, Kenza et Amale.
Ayant convié sur scène tout le conseil d’administration ou presque (deux participantes ne pouvaient être présentes), il a remercié en notre nom à tous la mairie de Mont Saint Aignan pour son fidèle soutien, celle de Notre-Dame de Bondeville pour nous avoir invités, Daoud pour la musique, Théo pour la sonorisation de la fête, Pierre pour ses photos, Bassam pour les vidéos, Leyla, notre ancienne présidente que le coronavirus nous avait empêché de remercier en 2020, pour ses années d’investissement et les adhérents présents, pour avoir tenu bon pendant la pandémie et nous être restés fidèles malgré les difficultés… ce qui nous a été d’un grand soutien moral !
En guise de final, les arabophones ont chanté On va mettre l’ambiance, une chanson pleine de promesses, composée par Joseph Jeha…
… tandis que les danseuses improvisaient et entraînaient le public, petits et grands, dans la danse…
… histoire de mettre tout le monde en train pour le goûter partagé au soleil.
Et c’est ainsi que s’est achevée une année pas si simple mais finalement joyeuse.
Notre mois consacré aux Arts de l’Islam s’est achevé au musée de la céramique (26 mars) et au Rexy (27 mars) par des rencontres sympathiques autour de la céramique, de la danse, de la cuisine et de la langue arabe dans une ambiance détendue et chaleureuse.
Par ailleurs, les enfants des cours d’arabe ont pu bénéficier le mercredi 30 mars d’un atelier « cartes postales » (création à partir de motifs présents sur les céramiques) et d’un atelier « contes » le mercredi 6 avril à l’atelier « contes », animés par le personnel du musée.
Al Atlal est un spectacle du CDN qui a eu lieu les 29 et 30 janvier prochains au théâtre de la Foudre à Petit-Quevilly. A travers cet hommage à Oum Kalsoum et à sa propre mère, Norah Krief évoque sa propre difficulté à concilier intégration et préservation des racines. Ce spectacle émouvant a plu à tous ceux qui y ont assisté. Pour en savoir plus : https://www.cdn-normandierouen.fr/al-atlal/
Alif s’est associée au CDN en vendant le mercredi 30 janvier des en-cas salés et des pâtisseries orientales avant le spectacle et à la sortie.
Au bar, l’ambiance était détendue et conviviale. Nos cuisinières ont été touchées par la gentillesse des spectateurs qui sont nombreux à être repassés au comptoir pour nous glisser un « Qu’est-ce que c’est bon ! »
Par un temps radieux, ni trop chaud, ni trop pluvieux, les fourmis bénévoles de l’association s’activent pour installer les chaises prêtées par la mairie de Mont Saint Aignan dans la Maison des associations et pour décorer la salle. En coulisses, les danseuses se maquillent et s’habillent ; ça pouffe, ça jacasse et ça bricole les chignons. Pierre Harant, à qui nous devons les clichés qui accompagnent cet article, prend position pour photographier tous les intervenants… il n’est pas le seul ! Les parents, les maris, les enfants dégainent portables et appareils photos.
16h, devant les beaux tableaux d’Aziz El-Qomri, Leyla Akoum, notre Présidente, annonce le cours de danse ados d’Anissa Ouazar qui ouvre le spectacle dans un tourbillon d’éventails arc-en-ciel.
Puis vient le tour des jeunes élèves des cours de langue arabe de Nibal et Sohaib Al-Zahran – les adultes, quant à eux, ont préféré faire une exposition de poèmes calligraphiés de Nizar Kabbani -. Ils chantent des chansons et récitent des poèmes… le tout sans micro… celui que nous avons loué s’étant révélé défaillant.
Démarrent ensuite les chorégraphies des danseuses adultes de Mina Zourhmari. Les danseuses du niveau 1, toutes scintillantes de sequins, se lancent ensuite dans une danse des cannes inspirée de la gestuelle masculine de la guerre et des travaux des champs.
Les enfants du cours d’arabe reviennent pour une petite pièce de théâtre où l’on voit des jouets proposer tour à tour leurs services à un garçon désœuvré jusqu’à ce qu’il finisse par choisir la compagnie d’un livre…
Puis entrent en scène les danseuses du niveau 2 pour une danse arabo-andalouse au son des tambourins.
Les percussionnistes de Mohamed Arbane prennent ensuite possession de la scène, derbouka sous le bras, et des rythmes variés font résonner la salle.
Après quoi, surviennent les danseuses du niveau 3 pour une chorégraphie balaadi qui se danse avec des mouvements très près du corps.
Pendant que les danseuses filent se changer, Leyla remercie au nom de tous Yéhia El-Baba qui a été Président pendant plusieurs années jusqu’à l’assemblée générale de novembre 2014.
Puis les danseuses reviennent pour une danse folklorique yéménite qui fait la part belle aux mouvements de cheveux.
Et c’est au tour des professeurs d’être à l’honneur et d’être remerciés pour le bon travail accompli cette année….
… avant que toutes les danseuses n’envahissent la scène pour le final.
Pour finir, nous convergeons tous vers les tables du goûter installées à l’extérieur pour déguster au soleil les délicieuses pâtisseries apportées par les adhérents et le thé à la menthe préparé par Rachida : 20 bottes de menthe rien que ça ! Quelques âmes charitables nous donnent un coup de main pour tout ranger…