Les cours vont reprendre chez Alif les mardi 17 et mercredi 18 septembre.
Nouveauté de l’année :
Ouverture d’un 3ème cours de danse orientale le mardi de 20h à 21h au Rexy (professeur : Lucille )
Les cours vont reprendre chez Alif les mardi 17 et mercredi 18 septembre.
Nouveauté de l’année :
Ouverture d’un 3ème cours de danse orientale le mardi de 20h à 21h au Rexy (professeur : Lucille )
Notre fête de fin d’année a eu lieu au Rexy à Mont Saint-Aignan le dimanche 16 juin à 16h30.
L’article qui y est traditionnellement consacré sera mis en ligne courant septembre quand nous aurons récupéré les photos de l’évènement : elles existent mais nous avons eu un problème de transmission.
C’est avec des saveurs turques que s’est terminée cette année de voyages culinaires.
En entrée : soupe de lentilles corail accompagnée de petits croûtons croustillants…
… et des cœurs de courgettes revenus à la poêle et mélangés à du yaourt grec pour l’apéritif. (idée originale et savoureuse pour ne pas jeter les cœurs des courgettes que nous avons creusées pour les farcir).
Et donc en plat principal, des courgettes farcies au poulet et poivrons et mozzarella fondante… idée bien fraîche pour l’été accompagnée de boulghour aux légumes.
Et pour finir le repas – et l’année ! – des baklavas aux pommes :
une gourmandise sans fin au bon goût de pomme caramélisées de noix, de cannelle et d’un peu de beurre qui épousait à merveille le récit de notre cheffe du jour, Belgin, qui nous a expliqué son parcours de la Turquie à la Normandie. Merci Belgin !
Ce mois-ci, Perrine a proposé à ses commis de cuisiner en cœur une farce à base de poivrons et de tomates…
avec laquelle ils ont fourré des chaussons bien dorés et cela donne des cocas, une recette algéro-pied-noire.
Puis ils ont préparé des filets de maquereaux à la sauce chermoulah (à base d’huile, d’oignons, de coriandre et d’autres épices secrètes..; on ne va tout de même pas tout vous dire !) avant de terminer par des Bradj aux dates (sablés de semoule).
Il ne restait plus qu’à déguster et à remercier Perrine !
En prélude à cette parenthèse libanaise, Perrine nous a proposé une recette moyenne-orientale : pour l’apéro, une crème de feta aux pois chiches épicés et tomates cerises rôties au four.
Puis Mireille nous a emmenés dans la plaine de la Bekaa. Elle nous a appris à faire la sauce au tahiné (sésame) laquelle a servi pour accompagner à la fois (pratique !) en entrée les côtes de blettes et le plat principal de poisson, riz et vermicelle.
Pour ne pas jeter les feuilles de blettes, elle nous a fait faire un saut au nord du Liban avec une recette apprise de sa grand-mère de Tripoli : « Cornilles aux feuilles de blettes et coriandre », plus quelques autres ingrédients, naturellement. Les haricots cornilles sont des haricots blancs avec un petit point noir, une découverte pour la plupart d’entre nous.
Et pour le dessert, nous avons dégusté des crêpes libanaises Atayef.
Pour résumer, entre plats fins, discussions sérieuses, anecdotes pas sérieuses du tout et éclats de rire, le repas fut parfait. Merci, Perrine et Mireille !
La grande affaire du jour, apprendre à faire des dolmas sous la direction de Talal : tomates, oignons et feuilles de vigne farcis. Yeux sensibles s’abstenir (ou venir avec de bonnes lunettes de piscine!)
Pour le reste, c’est une farandole de beignets : en entrée, des beignets de pois chiches et, en dessert, des beignets-dentelles accompagnés de sucre aromatisé à la pistache et à la menthe.
Ceux qui n’étaient pas du voyage le regrettent bien !
Le vendredi 16 février, nous avons organisé en partenariat avec le cinéma Ariel de Mont-Saint-Aignan une soirée autour de Nezouh, film de Soudade Kaadan (V.O. sous-titrée) : à Damas au cœur du conflit syrien, la jeune Zeina, 14 ans, et ses parents Motaz et Hala, sont parmi les derniers à demeurer dans leur quartier en ruine. Leur immeuble tient encore et Motaz, qui ne veut pas devenir un réfugié, refuse obstinément de quitter les lieux, au grand dam de son épouse. Un jour, un obus fait un grand trou dans le plafond de l’appartement. Zeina, qui ne peut s’échapper physiquement, s’envole en imagination par cette ouverture inattendue.
Les amateurs de film de guerre avec des scènes d’affrontements sanglants seraient déçus : certes la guerre est présente à travers les images de Damas désertée et en ruines, et la vie de la famille est difficile, mais l’accent est mis sur les relations dans la famille, avec les rares voisins, avec les oiseaux. L’imagination joue son rôle dans la survie et cette situation de crise douloureuse finalement offre aux femmes une occasion de prendre leur vie en main.
Il n’y avait pas là de quoi traumatiser les enfants venus avec leurs parents mais il a fallu du courage à ceux qui ne parlaient arabe pour lire les sous-titres, tout le film durant ! Ceci dit, ils ont pu aussi se ravigoter avec les pâtisseries de nos cuisinières et le thé à la menthe, avant et après le film. Et j’en connais deux qui ne se sont pas faits prier !
Merci à Monsieur Ricque, le directeur de l’Ariel, et son équipe pour leur accueil et à Amal Khamar qui a piloté ce projet pour notre association.
Le 10 février, au Rexy, notre association a proposé aux étudiants du cours d’arabe (1ère année) de l’université de Mont-Saint-Aignan une initiation à la culture arabe (poésie, danse et cuisine).
Dans le pur respect des traditions de notre association qui suscite la rencontre des cultures, la matinée a commencé autour de viennoiseries françaises et s’est achevée avec les pâtisseries orientales confectionnées en commun.
Chacun est reparti avec sa boîte sous le bras. Ce fut une matinée détendue et sympathique !
Merci à la mairie qui nous a prêté les salles, au professeur qui nous a fait confiance et aux étudiants qui ont participé à toutes les activités, y compris à la danse, laquelle n’enthousiasmait pas tout le monde a priori et a finalement remporté tous les suffrages !
Amel, qui a toujours à cœur de faire découvrir la Tunisie, était notre cheffe pour ce premier atelier culinaire 2024. Sous sa direction, les commis sont entrés en cuisine.
Au menu, une soupe tunisienne bien colorée pour se réchauffer l’hiver à base de légumes frais (carottes, petits pois, épinards, tomates) pour les vitamines et de légumineuses (lentilles, pois chiches) pour la satiété, accompagnée de bricks au thon, pommes de terre et câpres, la recette spéciale du papa d’Amel.
Et qui dit janvier dit galette. Le repas s’est donc terminé avec une pastilla aux amandes (la version maghrébine de la galette) sucrée et croustillante.
L’histoire ne dit pas qui a eu la fève, ni d’ailleurs si fève il y avait. Mais le repas était assez savoureux pour se prolonger tranquillement au gré des conversations. C’était chaud, c’était bon, c’était bien. Merci Perrine et Amel !
En ce mois de décembre, Perrine Jaafari et ses apprentis cuisiniers ont retroussé leurs manches et fait chauffer le four pour préparer les fêtes. Pâtisseries au programme : baklawas rolls, cornes de gazelles, briouattes aux dates et ghribas aux noix.
La dégustation finale était très attendue mais avant d’en arriver au buffet de desserts, Perrine a fait découvrir à ses commis une bissara, une soupe marocaine aux fèves sèches, relevée d’un filet d’huile d’olive… histoire de mettre un peu de sel dans tout ce sucre !
Et c’est avec ces images appétissantes de l’atelier de cuisine orientale que Perrine, notre vice-présidente, et tout le conseil d’administration d’Alif vous souhaitent de
joyeuses fêtes de fin d’année !