
Aux côtés de Perrine Jaafari notre vice-présidente, Ali Farhat accueille le public en expliquant, en vers, pourquoi il a eu cette étrange idée d’accepter d’être Président d’Alif et cède la place aux élèves des cours d’arabe pour un chant de bienvenue.

Le cours de danse du mardi présente en ouverture une chorégraphie de style sharqi (travail sur l’aspect aérien des mouvements et sur les ondulations compliqué ici par l’usage d’un accessoire).

C’est au tour des petits et moyens de chanter en arabe, le chant des parties du corps, celui de la famille.


Le grand cerf dans sa maison et la chanson des 5 sens.


Les danseuses de l’atelier chorégraphique, en rose et noir, présentent la première de leurs créations.

Le groupe des moyens chante les formes : « Je suis un triangle »…

Le cours de danse de mercredi, tout en paillettes, se lance dans une danse « drum » entre rythmes orientaux et samba.

Dans la prestation des grands qui récitent des poèmes en arabe, se glisse une mini-star qui, on le verra, tient beaucoup à participer.

Le metteur en scène de la compagnie Barbetorte vient présenter Le Malade Imaginaire, spectacle auquel les danseuses d’Alif vont collaborer, et évoque la mode d’orientalisme qui règne à Versailles depuis que l’ambassade turque est venue présenter ses hommages à Louis XIV, mode dont Molière se fait l’écho.

Le cours du mardi revient avec une chorégraphie de style « modern baladi, à mi-chemin entre l’aérien sharqi et le baladi, style terrien avec des accents marqués...

… avant que Perrine et Amel ne rappellent les temps forts de l’année.

L’atelier chorégraphique propose une danse bollywood : on y reconnaîtra des gestes caractéristiques vus dans les films indiens.



Puis Dawood Semano nous fait l’amitié d’un petit récital de oud.

Les danseuses du mercredi reviennent sur scène avec un autre joyeux modern baladi.
Les élèves ados-adultes du cours d’arabe avancé interprètent une chanson tunisienne et un poème d’Abou I Kassem al Chabi « Si le peuple veut un jour sa liberté »

Les danseuses de l’atelier chorégraphique emmène le public de la Tunisie au Maroc.

Ali présente les autres membres du CA qui animent l’association et avaient pu être présents sur scène : Perrine, Odile, Léonie, Amel, Clémence et Mireille, avec une pensée amicale pour Raphaëlle, Lydie, Mona et Annie.

Les professeurs, Amale (arabe), Perrine (cuisine), Lucille et Kenza (danse) sont non moins chaleureusement remerciées.
Les arabophones chantent leur » vieille grand-mère ».

Toutes les danseuses reviennent, costumes mêlés, pour la danse finale.
On salue…
… et tout le monde vient danser !